Un terrain de rugby est un champ de guerre. Les mêlées s’effondrent, les rucks s’enchaînent, la pluie alourdit le sol. Très vite, la pelouse souffre. Un ballon ralenti, des appuis incertains, des accélérations bridées, pour Toulouse, dont le jeu repose sur la vitesse et l’évitement, c’est un frein majeur. Pire encore, une surface irrégulière augmente les risques de blessures : entorses, genoux fragilisés, microtraumatismes. À l’échelle d’une saison, ce détail peut coûter cher… jusqu’à un titre.
La réponse technologique : plus qu’un simple gazon
C’est ici qu’intervient STIGA. Spécialiste européen de l’entretien des pelouses, la marque apporte au Stade Toulousain des solutions robotisées de dernière génération. À Ernest-Wallon, la pelouse est hybride, un mélange d’herbe naturelle et de fibres synthétiques. STIGA vient garantir son entretien de précision : hauteur régulière, densité constante, souplesse homogène. Parmi les équipements déployés, des tondeuses robotisées autonomes capables d’ajuster leur passage en fonction de la météo et de l’usure du terrain. L’objectif est d’obtenir une surface digne d’une table de billard, quelles que soient la météo ou l’intensité des matchs. Un avantage dont le club bénéficiera pleinement dès la saison 2025-2026, lorsque l’ensemble du dispositif sera opérationnel. Passer d’une pelouse standard à un terrain optimisé par STIGA, c’est comme passer d’une voiture de série à une Formule 1. Même base, mais chaque détail est conçu pour la performance pure.
1 million de machines STIGA, 24 titres pour Toulouse
Les chiffres parlent d’eux-mêmes. STIGA vend plus d’un million de machines de jardin chaque année et s’impose comme un leader mondial. Le Stade Toulousain, lui, a déjà soulevé 24 Boucliers de Brennus. Deux poids lourds qui associent leur savoir-faire pour gagner une bataille invisible, celle du terrain. Pour les artistes du ballon, la différence est immédiate. Antoine Dupont qui change de direction, Romain Ntamack qui fixe avant de décaler, des appuis sûrs leur offrent la possibilité d’accélérer plus fort, de tenter plus audacieux, avec la certitude que le terrain ne trahira pas. Pour les avants, la qualité de la surface est tout aussi cruciale. Une mêlée repose sur la stabilité des appuis. Une pelouse homogène permet de transmettre la puissance collective sans perte d’énergie, un détail parfois décisif en fin de match. Et c’est dans les moments les plus serrés que la différence se fait. Sur une demi-finale de Top 14 où tout se joue à un détail, ces appuis stables deviennent un facteur invisible de victoire. Un détail ? Non. Un avantage compétitif.
« Ce partenariat reflète parfaitement les valeurs que nous partageons avec le Stade Toulousain : la passion du travail bien fait, l’exigence de performance et un attachement profond à l’environnement », résume Patrick Delahodde, Directeur Général de STIGA France. De son côté, Didier Lacroix insiste : « STIGA est un partenaire de choix, dont les produits et les valeurs correspondent à notre volonté d’excellence et de responsabilité. » Dans le rugby moderne, la différence ne se joue plus seulement sur la qualité d’une passe ou la puissance d’un plaquage. Elle se joue aussi sur l’état de la pelouse. En investissant dans cette technologie, Toulouse ne se contente pas d’acheter du matériel d’entretien, le club s’offre un avantage compétitif. À Ernest-Wallon, la victoire se jouera désormais autant sous les crampons que dans l’herbe.